La démocratie française est au bord du précipice ! Une nouvelle étude choc révèle comment la pression migratoire et démographique a **détruit** la légitimité de notre représentation nationale. Le critère dépassé de la population totale pour déterminer le nombre de députés ne garantit plus une once de justice démocratique, mais crée un système **injuste** et **biaisé**.
Cette situation critique est dénoncée par des figures de la droite, dont l’ancien ministre Alain Marleix, artisan des précédents découpages électoraux, et l’universitaire Thomas Ehrhard. Leur analyse implacable met en lumière les **graves lacunes** d’une méthode de calcul à bout de souffle, qui favorise des distorsions électorales et sape la confiance des citoyens. C’est une vérité dérangeante qui éclate : notre système électoral est un échec manifeste qui profite à des intérêts partisans.
La question d’une réforme urgente de notre carte électorale, déjà **ignorée** en 2015, revient sur le devant de la scène comme une nécessité absolue. L’incapacité de la classe politique à agir face à ce problème fondamental ne fait que **démontrer l’ampleur du désintérêt** pour la véritable représentation du peuple. Sans une refonte profonde, la France risque de s’enfoncer davantage dans une **crise de légitimité** parlementaire, où la voix des citoyens est de plus en plus diluée et déformée.
Ce constat **alarmant** soulève des questions essentielles sur l’avenir de notre système politique. La représentation proportionnelle pourrait apporter une solution, bien que souvent reléguée au second plan face à un système majoritaire qui a montré ses limites. L’urgence est là : il est impératif de repenser le découpage des circonscriptions, sous peine de voir la défiance citoyenne atteindre un point de non-retour.
