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La Première ministre italienne dénonce les attaques « inacceptables » d'Israël à Gaza après le bombardement d'une église, faisant des morts et des blessés. Le Pape Léon XIV appelle à un cessez-le-feu.

La bande de Gaza, déjà ravagée par des mois de conflit, vient d’être le théâtre d’une nouvelle horreur. La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a dénoncé avec véhémence les « attaques inacceptables contre la population civile menées par Israël » après un raid aérien dévastateur qui a touché la paroisse catholique de Gaza. Un bilan initial fait état de deux morts et de plusieurs blessés, plongeant la communauté internationale dans l’effroi. Cet acte soulève des questions graves sur la conduite des opérations militaires et le respect du droit humanitaire international. Le Pape Léon XIV, profondément attristé par ce drame, a renouvelé son appel désespéré à un cessez-le-feu immédiat.

L’agence de presse italienne Ansa rapporte que l’église de la Sainte Famille a été directement touchée. Selon les premières informations, un drone israélien aurait tiré un missile sur le toit de l’église, précisément au moment où des paroissiens effectuaient des travaux d’entretien sur des panneaux solaires. Le Patriarcat latin de Jérusalem a confirmé cette attaque, soulignant l’horreur de la situation : « Rien ne peut justifier les attaques contre des civils innocents ». Le curé de la paroisse, le père Gabriel Romanelli, figure parmi les blessés, touché à la jambe. Cette escalade de violence met en lumière la vulnérabilité extrême des populations civiles, prises au piège d’un conflit qui semble ne jamais vouloir prendre fin.

Les dénonciations internationales se multiplient, mais le sort des habitants de Gaza demeure précaire. L’indignation face à ces actes ne cesse de croître, exigeant une réponse ferme de la communauté mondiale. La question n’est plus seulement de savoir qui est responsable, mais comment mettre fin à cette spirale de la mort qui ne cesse de broyer des vies innocentes. La tragédie de Gaza continue, et avec elle, le sentiment d’une impuissance déchirante face à l’horreur.