
L’icône de l’immobilier, Stéphane Plaza, navigue en eaux troubles après sa condamnation pour « violences habituelles ». Une décision de justice, dont il a fait appel, qui a dévasté la réputation de son empire et entraîné une fuite massive de franchisés, laissant le réseau en proie à une crise sans précédent.
Le nom de Stéphane Plaza, autrefois gage de succès, est aujourd’hui entaché, transformant les agences en cibles. Des vitrines taguées, des franchisés insultés : l’image de marque est brisée. Cette descente aux enfers a contraint M6 et Stéphane Plaza lui-même, actionnaires majoritaires, à une réaction désespérée pour stopper l’hémorragie.
Dans une tentative désespérée de sauver les meubles, une nouvelle enseigne, « Sixième Avenue », a été lancée en catimini. Un stratagème transparent pour masquer les liens avec l’animateur controversé, offrant aux franchisés une porte de sortie illusoire. Derrière cette façade, les mêmes actionnaires tirent les ficelles, ne laissant planer aucun doute sur la tentative de minimiser les dégâts. Une manœuvre cynique qui révèle l’ampleur du désastre et la difficulté à se défaire d’un passé judiciaire lourd de conséquences.