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Un mystérieux OVNI a déjoué un missile Hellfire de l'armée américaine au large du Yémen, soulevant des questions sur la sécurité et la transparence du Pentagone face à cette technologie avancée.

Un mystérieux objet volant non identifié (OVNI) a semé la consternation au sein de l’armée américaine, résistant avec une facilité déconcertante à un missile Hellfire. La vidéo, révélée le 30 octobre 2024 lors d’une audition au Congrès, montre un échec stupéfiant des forces armées face à un phénomène inexpliqué. L’événement, capturé par un drone MQ-9 Reaper au large des côtes du Yémen, soulève des questions inquiétantes sur la supériorité technologique des adversaires potentiels.

La séquence est glaçante : un missile Hellfire, l’une des armes de précision les plus redoutables de l’arsenal américain, percute l’objet brillant, qui, après un bref vacillement, poursuit sa trajectoire comme si de rien n’était. Cet échec cuisant a laissé les experts et les membres du Congrès perplexes, fustigeant un manque flagrant de transparence de la part du Pentagone qui refuse d’authentifier la vidéo. «Nous n’avons rien à fournir à ce sujet», a déclaré un responsable de la défense, alimentant les soupçons d’une dissimulation.

Face à cet affront technologique, les spéculations vont bon train. Si certains évoquent des origines extraterrestres, la thèse la plus crédible penche vers un drone Houthis. Le scientifique Avi Loeb de Harvard, basé sur l’analyse de la taille et de la vitesse de l’objet, suggère une similarité avec les drones Samad utilisés par les rebelles yéménites. L’impact du missile aurait pu toucher une partie non critique du drone, évitant la détonation. Une explication qui, si elle rassure quant à l’absence d’alien, n’en demeure pas moins alarmante quant à l’avancée technologique de groupes insurgés.

Le véritable scandale réside dans l’incapacité du gouvernement à fournir des réponses claires. La divulgation de cette vidéo, couplée à l’existence présumée de nombreux autres enregistrements confidentiels, pose un problème majeur pour la sécurité nationale. L’opacité autour de ces «phénomènes anormaux non identifiés» (PAN) ne fait qu’alimenter la méfiance du public et souligner les graves lacunes dans la gestion de ces menaces émergentes. L’échec du missile américain face à un simple drone, quelle que soit son origine, est un signal d’alarme inquiétant pour la défense du pays.