Donald Trump, l’ancien président américain, a déclenché une nouvelle polémique en affirmant avoir été victime d’un « triple sabotage » lors de son discours devant l’Assemblée générale des Nations unies. Un incident qui, selon lui, exige une enquête immédiate de la part de l’ONU, jetant une ombre sur la crédibilité de l’organisation. L’escalade mécanique bloqué, le téléprompteur en panne, et un son défaillant : une série noire qui alimente les théories du complot.
Dans un message furieux publié sur son réseau Truth Social, Trump a qualifié ces événements de « honte » et a exigé des comptes. Cette fureur présidentielle intervient après une allocution déjà très controversée, marquée par un réquisitoire souverainiste, climatosceptique et anti-immigration. La Maison-Blanche tente de minimiser les faits, parlant d’un simple incident technique, mais l’ancien locataire de la Maison-Blanche refuse d’enterrer l’affaire.
Le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, a tenté de rassurer en déclarant que l’escalator avait été arrêté « par inadvertance », faute d’un vidéaste de la Maison Blanche. Cependant, l’accumulation de ces incidents techniques, en particulier celui du téléprompteur, dont la gestion relève directement de la Maison-Blanche, soulève des questions troublantes sur l’organisation et la sécurité des événements de cette envergure.
Cette situation chaotique, amplifiée par les accusations de Trump, révèle les tensions et les dysfonctionnements possibles au sein des plus hautes instances internationales. L’incident soulève des doutes sur la capacité de l’ONU à garantir un environnement sans accroc pour des personnalités de ce niveau, et met en lumière une certaine forme de défaillance protocolaire aux conséquences potentiellement politiques.
