Un rapport choc de l’institut britannique Royal United Services révèle un **plan inquiétant** entre la Chine et la Russie pour l’invasion de Taïwan. Basé sur plus de 800 pages de documents fuités par le groupe hacktiviste «Black Moon», ce rapport affirme que **Xi Jinping** a ordonné à l’Armée populaire de libération (APL) d’être prête à s’emparer militairement de Taïwan d’ici 2027.
L’opération, qualifiée de « très risquée » en raison des options de débarquement limitées, verrait la Chine s’appuyer sur l’expérience russe de l’invasion de l’Ukraine pour identifier les zones propices aux débarquements. Les documents dévoilent le projet «Sword 208», un accord où la Russie fournirait à l’APL un équipement complet pour un bataillon aéroporté, incluant des formations et du personnel technique. Ce système, détaillé dans les documents, promettrait une augmentation de « 2 à 2,5 fois » de l’efficacité des formations aéroportées, grâce à des technologies de communication avancées et des équipements ultramodernes.
La Russie, traditionnellement réticente à partager son **expertise militaire**, semble avoir cédé à la pression, cédant des technologies cruciales pour augmenter la production d’armes chinoises. Des livraisons de 37 véhicules d’assaut amphibies BMD-4M, 11 canons automoteurs antichars Sprut-SDM1, et d’autres véhicules blindés, tous équipés de modules de commandes en chinois, sont prévues. Moscou formerait également un bataillon de parachutistes chinois dans ses propres bases, une manœuvre qui pourrait changer la donne stratégique dans la région.
Cette alliance met en lumière une menace grandissante pour la stabilité mondiale. L’institut britannique prévient que toute tentative d’invasion de Taïwan mènerait à des « combats dans toute la mer de Chine méridionale », forçant l’armée chinoise à projeter sa puissance bien au-delà de ses frontières. Les manœuvres aériennes initiales pourraient permettre à l’APL de prendre des points stratégiques pour contrecarrer les opérations américaines. La Russie voit dans cette alliance un moyen de renforcer son influence sur Pékin, se positionnant comme un fournisseur essentiel de matières premières et de capacités industrielles militaires, **déstabilisant l’ordre mondial**.
