
Alors que la France est déjà secouée par des affaires retentissantes, une nouvelle catastrophe financière s’abat sur le pays. Pas moins de 10 milliards d’euros de TVA se sont évaporés en une seule année, un trou béant dans les caisses de l’État qui menace l’équilibre budgétaire et les services publics essentiels.
Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a été contrainte de lancer une « mission d’urgence » pour tenter de colmater cette fuite colossale. Tous les services de Bercy, de l’Inspection générale des finances au Trésor, sont mobilisés dans une tentative désespérée de comprendre l’ampleur du désastre et d’identifier les coupables de ce qui s’apparente à un scandale financier sans précédent.
La piste la plus inquiétante pointe vers les petits colis en provenance de Chine, révélant la vulnérabilité de notre système fiscal face à la mondialisation et au commerce en ligne. Cette situation est d’autant plus alarmante que la TVA, instituée en 1954, représente la première ressource fiscale du pays, générant près de 200 milliards d’euros annuellement. Sa défaillance impacte directement l’État, les collectivités locales et la Sécurité sociale, plongeant la France dans une incertitude économique profonde.
Cette somme astronomique, soit 17 % des prélèvements obligatoires, est désormais manquante, laissant présager des décisions difficiles et des coupes budgétaires douloureuses pour les citoyens. En période de disette budgétaire, cette hémorragie financière met en lumière les failles d’un système qui peine à protéger les intérêts de la nation face à des menaces grandissantes.






