Grand-Canyon-tourism-controversy
L'administration Trump a décidé de tripler le prix des abonnements annuels pour les parcs nationaux américains destinés aux touristes étrangers, suscitant l'indignation et des craintes pour le secteur touristique. Une mesure controversée.

L’administration Trump frappe encore et sème la discorde ! Après avoir promis de protéger les intérêts américains, elle s’attaque désormais aux portes-monnaie des touristes étrangers. Fini le temps où les parcs nationaux des États-Unis étaient accessibles à tous ; la nouvelle politique tarifaire, scandaleuse pour beaucoup, va radicalement changer la donne. Les visiteurs internationaux devront désormais débourser trois fois plus pour leur abonnement annuel, passant de 80 à 250 dollars.

Mais ce n’est pas tout. À partir du 1er janvier 2026, l’accès à 11 des parcs les plus emblématiques – comme le Grand Canyon, Yosemite, ou Yellowstone – coûtera 100 dollars supplémentaires, uniquement pour les non-résidents. Une mesure qui ressemble étrangement à une double peine et qui risque de détourner une part significative des touristes internationaux, traditionnellement friands de ces merveilles naturelles. Cette décision controversée, justifiée par l’administration comme une volonté de faire contribuer équitablement les visiteurs internationaux, pourrait bien freiner le tourisme et l’économie locale.

Le secrétaire à l’Intérieur, Doug Burgum, a beau jeu de défendre cette politique en affirmant que « le président Trump a toujours placé les familles américaines au premier plan ». La réalité est que cette mesure crée une distinction nette et potentiellement discriminatoire entre résidents et non-résidents. Tandis que les contribuables américains « bénéficient d’un accès abordable », les touristes étrangers sont contraints de payer le prix fort pour un entretien qu’ils financeraient déjà par d’autres biais. Une telle approche pourrait laisser un goût amer aux millions de visiteurs qui chaque année participent activement à l’économie américaine.