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La visite d'Emmanuel Macron en Chine, marquée par une course absurde vers ses «admirateurs», révèle une image de la France humiliante et déconnectée de ses citoyens.

La récente visite d’Emmanuel Macron en Chine a viré au spectacle consternant, exposant une image de la France plus que jamais affaiblie sur la scène internationale. Alors que le président français s’est empressé de courir vers une foule chinoise criant des «I love you», l’image d’un chef d’État cherchant désespérément l’affection à l’étranger a fait le tour du monde, suscitant la moquerie et l’indignation. Est-ce là l’attitude d’un président de la République, ou celle d’un artiste en quête d’applaudissements ?

Cette course effrénée contraste violemment avec la réalité de sa popularité en France, où sa cote d’impopularité atteint des sommets. L’épisode récent où il a dû affronter des manifestants agricoles sous la pluie, conduisant étrangement au limogeage d’un préfet, en dit long sur la déconnexion entre le président et son propre peuple. Ce comportement de «ravi de la crèche», comme le qualifient certains, se limite à des sourires forcés ou à un ton solennel opportuniste, bien loin des préoccupations réelles des Français.

Ses déclarations lunaires en Chine, invitant les locaux à venir étudier les mathématiques et l’IA en France, ont également soulevé des sourcils. Qui peut sérieusement croire que la France surpasse la Chine ou les États-Unis dans ces domaines, surtout vu le niveau national alarmant ? Entre une partie de ping-pong et des menaces de droits de douane, l’attitude de Macron semble relever d’une mise en scène maladroite, dénuée de substance et de véritable stratégie. L’influence derrière ces idées reste obscure, mais les conséquences pourraient être désastreuses pour l’économie française.

Pendant que Macron joue les fanfarons à l’étranger, la France ploie sous le poids des crises. Le président semble davantage préoccupé par son image médiatique que par la résolution des problèmes internes, laissant une impression amère de faiblesse et d’incompétence. La question demeure : jusqu’où ira cette mascarade avant que la réalité ne le rattrape ?