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La « reine de glace » Susie Wiles, secrétaire générale de Trump, brise le silence et dénonce un article jugé « malhonnête » par Vanity Fair, révélant les tensions au sein de l'administration.

La prétendue « reine de glace », Susie Wiles, secrétaire générale de la présidence Trump, a brisé son silence pour accuser Vanity Fair de partialité. Elle dénonce une publication « malhonnête » et « extrêmement chaotique » visant à dépeindre une image négative du président et de son équipe. Cette réaction en dit long sur la pression et la fragilité du cercle Trump.

L’article incriminé, « Susie Wiles, JD Vance et les “chiens errants” : la secrétaire générale de la Maison-Blanche sur le second mandat de Trump », signé par l’expert politique Chris Whipple, se base sur des entretiens avec Wiles elle-même, mais aussi avec le vice-président JD Vance et Marco Rubio. Malgré les dénégations, des questions subsistent quant aux coulisses du pouvoir.

Les confessions de Wiles abordent des sujets explosifs : Epstein, Poutine, Musk, les élections de 2028 et même l’« alcoolisme ». Des révélations qui, même contestées, laissent transparaître des failles béantes dans l’administration Trump.

Ces accusations de partialité de la part de Wiles ne parviennent pas à dissiper le malaise. Elles renforcent même l’idée d’une administration sous tension, cherchant désespérément à contrôler un récit qui lui échappe. Le ton se durcit, les attaques personnelles fusent, preuve d’une atmosphère délétère qui s’annonce déjà comme un lourd fardeau pour le second mandat. Le chaos semble être le maître mot des opérations, une instabilité préoccupante pour l’avenir politique.