
L’affaire Athanor, un scandale macabre impliquant un meurtre, des réseaux francs-maçons et d’anciens agents de la DGSE, s’apprête à déchaîner une tempête judiciaire. Vingt-deux individus sont renvoyés devant la cour d’assises spéciale de Paris pour un procès prévu en mars 2026, promettant des révélations glaçantes sur une sombre conspiration. L’enquête, digne d’un film noir, révèle la chute d’un pilote automobile dans un abysse de dettes et une spirale criminelle orchestrée par des figures troubles.
En 2018, le corps sans vie de Laurent Pasquali, célèbre pilote automobile au passé sulfureux, est découvert en Haute-Loire. Criblé de dettes, il était devenu la cible d’une cellule criminelle. À la tête de cette organisation, deux « frères » unis par la franc-maçonnerie, obsédés par l’univers de l’espionnage et des opérations secrètes. La disparition de Pasquali, mystérieuse dès le départ, a plongé ses proches dans l’angoisse. Sa mère, Gisèle, a signalé sa disparition, découvrant avec effroi son appartement vidé et sa voiture calcinée, des signes avant-coureurs d’un destin tragique.
Ce n’est que plus tard que l’horreur se révèle : un contrat avait été mis sur la tête du pilote. Derrière ce pacte funeste se cachait une redoutable cellule criminelle, l’Officine Athanor, qui avait prospéré à l’ombre d’une loge maçonnique. La disparition du pilote a marqué le paroxysme de la violence de cette organisation, démantelée en 2020. Après quatre ans d’investigation, l’affaire Athanor dévoile des ramifications inquiétantes, mêlant des francs-maçons influents, des chefs d’entreprise et même des agents de la DGSE reconvertis en tueurs à gages. Les langues se délient, promettant un procès explosif.