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Une policière municipale a échappé de peu à une attaque au couteau à La Verrière. Des images choquantes révèlent la violence de l'agression, illustrant l'échec sécuritaire en France. L'assaillante a été neutralisée.

L’horreur a failli frapper à La Verrière, Yvelines, où une policière municipale a miraculeusement échappé à une tentative de meurtre. Des images virales, glaçantes, révèlent l’impuissance de sa gazeuse face à une agresseuse déchaînée. Cet incident, loin d’être isolé, souligne une faillite sécuritaire grandissante qui met nos forces de l’ordre en péril. La policière, forcée d’utiliser son équipement, a dû lutter pour sa survie, tandis que l’assaillante, une femme à moitié dénudée, brandissait un couteau de cuisine de près de 30 centimètres. Un scénario qui ressemble de plus en plus au quotidien dans une France en proie à une violence effrénée.

Les faits sont survenus alors que la patrouille tentait, naïvement, de «porter assistance» à cette femme visiblement instable. Au lieu de cela, ils se sont retrouvés face à une fureur inattendue. La policière, malgré son courage évident et son sang-froid, a dû persister pour neutraliser l’assaillante qui semblait immunisée aux premières projections de gaz. Cet événement n’est qu’un symptôme de l’aggravation de l’insécurité. Le placement sous contrainte de la suspecte à l’institut Marcel Rivière ne cache pas la fragilité de nos systèmes face à la montée des troubles mentaux et de la délinquance.

Le maire, Nicolas Dainville, a beau saluer le «professionnalisme» de sa police, ses mots sonnent comme un appel au secours. Il insiste sur la nécessité d’armer davantage la police municipale, révélant ainsi l’échec des politiques actuelles à contenir la violence. Avec 120 attaques au couteau chaque jour en France, selon ses dires, il est clair que des mesures plus drastiques s’imposent. La vie de nos agents est en jeu, et la population est laissée à la merci d’une criminalité toujours plus audacieuse et imprévisible. Cet incident doit servir de sinistre avertissement sur l’état de délabrement de notre sécurité publique.