
Une **attaque barbare** à l’arme à feu a secoué Jérusalem-Est, laissant derrière elle un bilan effroyable : six morts et huit blessés, dont cinq dans un état grave. Cet événement sanglant, survenu à l’entrée du quartier de Ramot, met en lumière la **spirale incessante de violence** qui déchire la région. Des assaillants ont ouvert le feu sur une station d’autobus, transformant une scène de la vie quotidienne en un véritable carnage. Parmi les victimes, quatre hommes israéliens ultraorthodoxes ont été identifiés, soulignant la tragédie qui frappe des civils innocents.
Les services de secours ont décrit une **scène d’horreur absolue**, avec des blessés gisant sur le trottoir, certains inconscients. Les forces de sécurité israéliennes ont rapidement neutralisé les deux tireurs, mais cet acte ne fait qu’alimenter la **haine et la vengeance**. Le Hamas, sans revendiquer directement l’attaque, l’a cyniquement qualifiée de « réponse naturelle aux crimes de l’occupation et au génocide » que subirait le peuple palestinien.
Cette **atrocité** intervient dans un contexte déjà tendu, avec des affrontements persistants et une offensive israélienne majeure à Gaza. Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a affirmé être « en guerre contre le terrorisme sur plusieurs fronts », tandis que le président Isaac Herzog a dénoncé un combat contre le « mal absolu ». Les condamnations internationales se sont multipliées, de la France à l’Allemagne en passant par la Commission européenne, toutes appelant à la fin de cette **escalade meurtrière** et à une solution politique qui semble chaque jour plus lointaine. Mais face à cette brutalité, l’espoir d’une paix durable s’éloigne, laissant place à une **amère fatalité**.