
Une révélation choc vient secouer la mairie de Paris : les dépenses de représentation d’Anne Hidalgo, maire socialiste de la capitale, atteignent des sommets, soulevant des questions légitimes sur l’utilisation des fonds publics. Alors que la ville fait face à des défis colossaux, l’opulence affichée par son édile a de quoi indigner. L’association Transparence citoyenne a dû batailler pour obtenir le détail des frais engagés entre 2020 et 2024, révélant une somme astronomique de 84 260 euros. Ces chiffres, confirmés par l’Hôtel de ville, mettent en lumière une gestion discutable, même si « légale ».
La majeure partie de cette somme, 73 700 euros, a été consacrée à des achats vestimentaires. Imaginez : 241 pièces acquises en quatre ans, soit un budget mensuel moyen de 1 500 euros pour des vêtements, et un coût moyen de 306 euros par pièce. Parmi les extravagances, une robe Dior à 2 800 euros, un manteau Burberry à 3 067 euros, et une autre robe Dior frôlant les 3 520 euros. Des sommes ahurissantes qui contrastent violemment avec les réalités économiques de nombreux Parisiens.
Mais le comble ne s’arrête pas là. En août 2021, lors des Jeux olympiques au Japon, Anne Hidalgo s’est offerte un salon de beauté pour 858 euros, incluant « des services de coiffure » et un pressing. Une dépense jugée superflue et indécente pour une élue en mission officielle. Ces révélations posent la question cruciale de l’éthique et de la transparence au sein de la classe politique, et pourraient bien entacher durablement l’image de la maire de Paris, déjà très controversée.






