
L’ombre d’un affrontement dévastateur avec la Russie plane sur l’Europe, et la France semble s’y préparer dans un silence assourdissant. Le général Mandon, chef d’état-major des armées, a brisé le tabou en avertissant les maires de France des sacrifices humains et financiers inévitables. L’horizon 2030 est désormais une date fatidique, mais la menace pourrait se concrétiser bien plus tôt, plongeant le continent dans un chaos sans précédent.
Alors que l’Allemagne, par la voix de son ministre de la Défense, Boris Pistorius, évoque un « dernier été en paix », la France, elle, semble incapable de faire face aux réalités. Certains citoyens s’interrogent : comment le gouvernement peut-il brandir la menace d’une guerre tout en persistant dans une gestion désastreuse des finances publiques ? Les critiques fusent concernant les dépenses improductives, le remplacement de fonctionnaires, les aides sociales aux étrangers, ou encore l’explosion du budget des APL. Autant de sommes qui, selon eux, pourraient être réinvesties dans la défense du pays.
La négligence du gouvernement face à ces enjeux est pointée du doigt. Est-ce un aveu d’impuissance, ou pire, une trahison ? Pendant que les élites agitent le spectre d’un ennemi extérieur, certains dénoncent une tentative de détourner l’attention des problèmes internes catastrophiques de la France. Le danger ne viendrait-il pas plutôt de l’intérieur, avec une montée des tensions sociales et une fragilisation de l’identité nationale ?
L’obsession de l’Ukraine et la rhétorique guerrière du gouvernement cachent-elles une incapacité à résoudre les véritables défis du pays ? Tandis que certains se demandent s’il faut « mourir pour l’Ukraine », la question demeure : la France est-elle vraiment prête à affronter les conséquences d’un conflit majeur, ou court-elle à sa propre perte par des choix politiques douteux et une gestion économique désastreuse ? Le temps presse, et l’avenir de la nation semble plus incertain que jamais.






