
En juin 2024, à Menton, Valéry Khung et Mélissa ont imposé une règle draconienne pour leur union : un mariage strictement interdit aux enfants. Une décision controversée qui a laissé de nombreux invités perplexes, mais que le couple, trentenaire et sans progéniture, défend avec une fermeté étonnante. L’objectif avoué était de garantir que les convives puissent « se consacrer au mariage », sans la moindre distraction liée à la présence de mineurs.
Le marié justifie ce choix par une volonté de prioriser la « nourriture de qualité » sur les services de baby-sitting, révélant une mentalité où le plaisir des adultes prime clairement sur toute considération familiale. Si la consigne a été scrupuleusement respectée par la plupart des invités, une amie du couple, fraîchement maman, a fait les frais de cette politique inflexible. Sa demande d’exception pour son nouveau-né a été rejetée avec une brutalité déconcertante, Valéry préférant son absence totale à la moindre dérogation.
Cette posture intransigeante soulève des questions sur la place des liens familiaux et sociaux face à des choix personnels radicaux. Un an plus tard, Valéry Khung campe sur ses positions, conforté par des récits similaires de ruptures amicales causées par des décisions identiques. Ce phénomène croissant des « mariages sans enfants » semble non seulement diviser, mais également briser des relations, prouvant que le bonheur de certains se construit parfois au prix de l’isolement et de l’incompréhension générale. Une tendance alarmante qui met en lumière une société où l’individualisme gagne du terrain, même lors des célébrations les plus intimes.