L’ancien président russe Dmitri Medvedev, jadis perçu comme un « réformateur libéral » sous l’aile de Poutine, s’enfonce dans une série de provocations qui dévoilent une déconvenue brutale. Ses récentes outrances, culminant avec un échange acrimonieux avec Donald Trump, soulignent une dérive préoccupante et l’échec cuisant de ses ambitions passées.
Les vitupérations incessantes de Medvedev depuis l’invasion de l’Ukraine ont finalement poussé Donald Trump à réagir avec force. L’annonce du déploiement de sous-marins nucléaires en réponse à des « déclarations idiotes et incendiaires » illustre la gravité de la situation. L’escalade verbale autour de l’ultimatum de Trump pour un cessez-le-feu en Ukraine, ramené à seulement dix jours, a provoqué une réponse désastreuse de Medvedev.
« Chaque ultimatum ultérieur est une menace et un pas vers la guerre », a clamé Medvedev, révélant une posture de plus en plus agressive et irréfléchie. Trump, ne mâchant pas ses mots, l’a qualifié de « président raté qui se prend toujours pour un président », fustigeant une ingérence dangereuse. Cet échange lamentable met en lumière le déclin de Medvedev, dont les provocations incessantes ne font qu’aggraver les tensions internationales et le discrédit de son ancienne image de modéré. Il n’est plus qu’une ombre de l’homme politique qu’il était censé devenir.
