
La France se prépare à une journée de cauchemar social et économique le 10 septembre, où les appels à « tout bloquer » menacent de paralyser le pays. Malgré la chute probable du gouvernement, la fureur populaire, orchestrée par certains syndicats et partis de gauche, ne faiblit pas. Le sentiment de ras-le-bol généralisé promet des perturbations majeures, un avant-goût amer d’un avenir incertain.
Les transports seront le premier champ de bataille. La SNCF s’attend à un arrêt quasi total du trafic ferroviaire, SUD-Rail et la CGT-Cheminots appelant à un « blocage complet ». En Île-de-France, la RATP risque également de sombrer dans le chaos. Même les aéroports ne seront pas épargnés, avec des syndicats appelant à la grève et au blocage, transformant tout déplacement en une véritable épreuve. Les usagers subiront de plein fouet cette pagaille orchestrée.
Le secteur de la santé est également en ébullition. Les hôpitaux franciliens, déjà sous tension, verront leurs services perturbés par des grèves massives. L’augmentation de la franchise médicale est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, laissant présager une détérioration des soins pour les citoyens les plus vulnérables. Une situation alarmante pour un système de santé déjà fragilisé.
Les commerces et services ne seront pas épargnés par cette vague de mécontentement. La CGT Commerce et Services appelle à la grève, dénonçant la précarité et les bas salaires. Les centres des impôts seront également touchés, Solidaires Finances Publiques exigeant un « budget de justice fiscale » face aux suppressions de postes. Une France à l’arrêt, incapable de fonctionner normalement.
Même les agriculteurs se joignent au mouvement, la Confédération paysanne exprimant sa colère face à des conditions de vie de plus en plus difficiles. Les actions envisagées sont radicales : blocages de gares, de routes, de raffineries, d’entrepôts Amazon, sabotages de radars routiers, et même des « grèves de la carte bancaire » pour déstabiliser le système économique. Des « péages gratuits » et « courses gratuites » sont également évoqués, des actions qui pourraient plonger le pays dans l’anarchie. Les lycées et universités seront aussi pris d’assaut, avec des appels au « blocus » pour une mobilisation dans la durée. La France se dirige droit vers le précipice, une nation paralysée par la colère et l’incertitude.