Yemen-Houthi-protest
Le Premier ministre houthiste, Ahmad Ghaleb Al-Rahwi, a été tué lors de frappes israéliennes sur Sanaa, un coup dévastateur pour les rebelles du Yémen. Cet événement risque d'intensifier un conflit déjà sanglant.

La tension monte dangereusement au Yémen suite à l’annonce **choc** de la mort du Premier ministre houthiste, Ahmad Ghaleb Al-Rahwi, et de plusieurs ministres, tués lors de frappes israéliennes sur Sanaa. Cet événement marque un **tournant dramatique** dans la confrontation régionale, intensifiant un conflit déjà dévastateur. Les raids, d’une **précision effrayante**, ont ciblé une réunion gouvernementale, soulignant la **vulnérabilité** des dirigeants houthistes face à la puissance militaire israélienne.

Le chef du Conseil politique suprême houthiste, Mehdi Hussein Al-Machat, a immédiatement promis une **vengeance implacable**, avertissant Israël de « jours sombres ». Cette rhétorique enflammée n’annonce rien de bon pour la stabilité déjà précaire de la région, poussant potentiellement à une **escalade incontrôlable**. Le Hamas a d’ailleurs qualifié ces frappes de « crime odieux », apportant son soutien aux rebelles yéménites, sous le coup de cette **humiliation majeure**.

L’armée israélienne a confirmé, sans surprise, avoir éliminé Al-Rahwi et d’autres hauts responsables, se félicitant d’une opération rendue possible par une « opportunité en matière de renseignement ». Cette **démonstration de force** paralyse une partie de l’appareil houthiste et confirme la **détermination** d’Israël à riposter aux tirs de missiles et de drones des rebelles. Les houthistes, soutenus par l’Iran, affirment agir en « solidarité » avec les Palestiniens, mais leurs actions ont désormais des **conséquences dévastatrices** sur leur propre leadership.

Malgré la nomination rapide d’un Premier ministre par intérim, la **fracture** au Yémen s’aggrave. Les houthistes contrôlent la capitale et de vastes zones du pays, mais leur capacité à maintenir l’ordre et à défendre leurs dirigeants est désormais remise en question. Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, avait prévenu : « Celui qui nous attaque, nous l’attaquons. » Ces frappes sont une **douloureuse illustration** de cette menace, plongeant la région dans une **incertitude alarmante** et risquant de relancer la guerre maritime en mer Rouge, déjà source de tensions commerciales mondiales.