
Le gouvernement présente ses projets budgétaires pour 2026, et c’est un véritable casse-tête pour les futurs retraités. Malgré les annonces, la confusion règne, et l’inquiétude gagne du terrain. La suspension de la réforme des retraites, le gel du barème de l’impôt sur le revenu, l’abattement forfaitaire pour les retraités… Autant de mesures qui, loin de rassurer, sèment le doute et la colère parmi les citoyens.
Les questions affluent, et les réponses sont loin d’être claires. Un citoyen, né en 1966, s’interroge sur son départ à la retraite, initialement fixé à 63 ans et demi. Avec le gel de la réforme jusqu’en janvier 2028, seules les personnes nées entre 1963 et 1965 pourraient espérer partir plus tôt. Pour les autres, l’attente se prolonge, une amère pilule à avaler après tant de promesses.
La situation fiscale n’est pas moins préoccupante. Plus de 50% des foyers ne paient pas l’IRPP, une anomalie qui révolte de nombreux contribuables. Ce sentiment d’injustice est renforcé par l’impression que le contrat social est rompu, que l’impôt est devenu un « racket ». La colère gronde, et les appels à la révolution se multiplient, signes d’un ras-le-bol généralisé face à des politiques jugées inéquitables et chaotiques.
Les experts tentent d’apporter des éclaircissements, mais le mal est fait. L’incertitude plane sur l’avenir des retraités et des contribuables, minant la confiance dans les institutions. Le gouvernement, par ses atermoiements et ses annonces contradictoires, ne fait qu’alimenter un climat de défiance et d’exaspération générale. L’année 2026 s’annonce déjà comme une période de grandes tensions, où les citoyens devront naviguer entre promesses non tenues et réalité financière précaire.








