
La Normandie est de nouveau plongée dans l’angoisse suite à une série d’attaques brutales contre des chevaux, entraînant la mort de plusieurs animaux et des blessures choquantes. Heureusement, une lueur d’espoir émerge : une personne a été interpellée et placée en garde à vue, cinq jours seulement après la découverte de nouvelles horreurs près du Havre. La procureure du Havre, Soizic Guillaume, a confirmé cette interpellation, promettant des éclaircissements lors d’une conférence de presse imminente.
Les faits récents, survenus dans la nuit du 31 juillet au 1er août 2025 à Saint-Martin-du-Manoir, sont particulièrement glaçants. Cinq chevaux ont été sauvagement agressés, l’un d’eux succombant à ses blessures, tandis que quatre autres sont désormais marqués à vie, dont un ayant perdu un œil. Ces actes de cruauté s’inscrivent dans une série macabre qui frappe la région depuis mai, avec déjà onze équidés agressés et trois morts. Des cas similaires ont également été signalés près d’Yvetot, semant la terreur parmi les propriétaires.
Cette nouvelle vague de violences rappelle avec force les événements de 2020, où des centaines de chevaux avaient été mutilés à travers la France, créant une véritable psychose nationale. À l’époque, malgré l’ampleur du phénomène, les enquêtes avaient tristement révélé qu’une majorité des cas étaient d’origine naturelle, ne laissant que 16% des agressions comme résultant d’une intervention humaine. Un constat amer qui avait fortement ébranlé l’idée d’un réseau criminel organisé.
Pourtant, la situation actuelle en Normandie, avec ses mutilations horribles et la mort d’innocents animaux, semble indiquer une main humaine impitoyable. Alors que l’enquête progresse, l’interpellation de cet individu offre un fragile espoir de justice pour ces victimes silencieuses et de répit pour des propriétaires désormais terrifiés. La population attend avec impatience les révélations de la procureure, espérant enfin comprendre l’ampleur de cette barbarie qui frappe nos compagnons équins.