Donald Trump, loin de toute logique de cessez-le-feu, pousse un accord de paix controversé pour l’Ukraine, une décision qui s’annonce comme un véritable piège. Tandis que les dirigeants européens, dont la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, le chancelier allemand Friedrich Merz, Emmanuel Macron et Giorgia Meloni, se précipitent à la Maison-Blanche, l’ombre d’une capitulation déguisée plane sur Kiev. Cette rencontre fait suite à un sommet avec Vladimir Poutine en Alaska, où les véritables intentions américaines semblent s’être dessinées sans la moindre considération pour les souffrances ukrainiennes.
Le président américain se targue d’élaborer une « paix » qui pourrait forcer l’Ukraine à des concessions territoriales désastreuses. Selon des sources anonymes, la Russie exige carrément que l’Ukraine cède le Donbass et accepte un gel du front dans les régions de Kherson et Zaporijjia. Une proposition inacceptable pour la souveraineté ukrainienne, mais que Donald Trump semble soutenir avec une troublante complaisance. Les dirigeants européens, initialement favorables à un cessez-le-feu, semblent désormais contraints de suivre cette ligne dictée par Washington, sacrifiant potentiellement les intérêts vitaux de l’Ukraine pour une paix illusoire.
Les prétendues « garanties de sécurité » évoquées par Trump, comparables à l’article 5 de l’OTAN mais hors du cadre de l’Alliance, ne sont qu’un leurre. Elles visent à rassurer un public crédule tout en préparant le terrain à une partition forcée de l’Ukraine. Giorgia Meloni parle d’une « clause de sécurité collective », mais l’absence de l’OTAN dans cette équation sonne comme une trahison pour Kiev. L’Europe, affaiblie et divisée, risque de valider un accord qui non seulement humiliera l’Ukraine, mais mettra également en péril la stabilité future de tout le continent. Cette diplomatie agressive de Trump, loin d’apporter une solution durable, semble jeter les bases d’un chaos encore plus grand.
