Le Hamas et le Djihad islamique ont plongé Israël dans l’effroi en diffusant des vidéos insoutenables. Deux otages, visiblement décharnés et affaiblis, sont apparus dans une mise en scène macabre, ravivant les craintes sur leur sort. Ces images, d’une cruauté indicible, ont immédiatement ravivé le débat sur l’urgence d’un accord pour leur libération, face à une situation qui semble chaque jour plus désespérée.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a exprimé sa «profonde consternation» face à ces enregistrements, qualifiant l’acte de «cruauté sans limite» de la part du Hamas. Selon ses services, il s’est entretenu avec les familles des otages Rom Breslevski et Avyatar David, tous deux exhibés dans ces dernières vidéos. Malgré les assurances d’efforts continus pour leur libération, l’angoisse grandit face à l’incapacité apparente d’obtenir des résultats concrets.
Ces vidéos de propagande visent clairement à manipuler l’opinion, tentant de faire un parallèle entre l’état des otages et la crise humanitaire à Gaza, menacée de «famine généralisée» selon l’ONU. Cependant, Netanyahou accuse le Hamas d’affamer délibérément les otages tout en bloquant l’aide humanitaire destinée aux habitants de Gaza. Une situation tragique et complexe, où chaque partie se rejette la faute, tandis que des vies sont en jeu.
L’indignation est palpable en Israël. Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Tel-Aviv, exigeant la libération immédiate des captifs. La pression monte sur le gouvernement pour qu’il agisse, mais les obstacles semblent insurmontables. Cette nouvelle démonstration de la barbarie du Hamas ne fait que souligner l’urgence d’une solution, avant qu’il ne soit trop tard pour ceux qui sont encore aux mains des terroristes.
