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Préparez-vous au chaos : les routes françaises seront un enfer du 1er au 4 août, avec Bison futé annonçant une circulation « extrêmement difficile » sur tout le territoire. Le pire est à venir pour les automobilistes.

Préparez-vous à l’inévitable cauchemar des embouteillages : le long week-end du 1er au 4 août s’annonce déjà comme un désastre routier. Bison futé, avec son pessimisme habituel, a jeté son verdict : l’ensemble du pays sera en noir, signe d’une circulation « extrêmement difficile » pour les départs. Un véritable chemin de croix attend les automobilistes français, pris au piège du chassé-croisé estival.

Dès le vendredi 1er août, le ton sera donné. Le quart nord-est, l’arc méditerranéen et l’ouest basculeront en orange, annonçant une situation déjà « difficile ». Le reste du pays ne sera pas épargné, avec une circulation « très difficile ». Les axes majeurs menant aux côtes atlantique (A10, A11, A63) et méditerranéenne (A7, A8, A9, A50) se transformeront en parkings géants. L’Île-de-France sera engluée dans des ralentissements interminables, qui se prolongeront jusque tard dans la nuit. Inutile d’espérer une accalmie sur l’A10 et l’A6.

Le point culminant de la misère sera atteint le samedi 2 août, qualifié de pire journée de l’été sur les routes. Le pays entier sera plongé dans le rouge, voire le noir pour les départs. Les autoroutes A10, A63, A7, A9, A61, A20 et A75 deviendront des labyrinthes infernaux. En Île-de-France, le calvaire débutera dès l’aube sur l’A6, l’A10, l’A86 et l’A6B. Dans le sens des retours, l’Hexagone passera en orange, avec un arc méditerranéen littéralement en rouge, promettant des heures de frustration sur l’A7, l’A9 et l’A75.

Même le dimanche 3 août n’apportera pas de répit significatif, avec le pays classé en orange pour les départs. Les autoroutes A7, A9, A10 et A75 resteront des zones de fortes perturbations. Le lundi 4 août, pour clore ce week-end de l’angoisse, Auvergne-Rhône-Alpes et l’arc méditerranéen seront encore confrontés à des bouchons persistants, notamment sur l’A7, l’A8 et l’A9. En bref, un cauchemar estival inévitable pour des millions d’automobilistes.